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Faux et usage de faux
Editorial (Dimanche 09 Mai 2010)
Faux et usage de faux
Par : Salim Tamani
Lu : (512 fois)
Faux et usage de faux
Par : Salim Tamani
Lu : (512 fois)
Encore une fois, ce sont d’honnêtes citoyens qui paient les pots cassés par d’indélicats fonctionnaires tentés par le gain facile. Il est vrai que l’environnement général, caractérisé par les scandales liés à la corruption et aux détournements des deniers publics, pourrait être un motif d’encouragement pour tous ceux qui pourraient être attirés par les chants des sirènes. Mais la main lourde de l’État finit toujours par frapper même si les choses interviennent en retard.
Les investigations menées par la gendarmerie au sein d’Al Baraka Bank ne sont pas encore achevées que les malversations remontent en surface. De faux papiers fournis par de faux bénéficiaires pour l’achat de vraies voitures, aidés en cela par de véritables escrocs qui exploitent toutes sortes d’avantages offerts par les pouvoirs publics pour s’enrichir.
Les Algériens sont-ils condamnés à subir, et jusqu’à quand, le diktat des escrocs qui semblent de plus en plus avoir pignon sur rue ? Dans le cas du dossier du crédit automobile que les enquêteurs des services de sécurité viennent d’ouvrir, il s’agit, encore une fois de plus, de l’utilisation de faux documents pour l’acquisition d’un avantage.
Et encore une fois, ce sont d’honnêtes citoyens qui paient les pots cassés par d’indélicats fonctionnaires tentés par le gain facile. Il est vrai que l’environnement général, caractérisé par les scandales liés à la corruption et aux détournements des deniers publics, pourrait être un motif d’encouragement pour tous ceux qui pourraient être attirés par les chants des sirènes. Mais la main lourde de l’État finit toujours par frapper même si les choses interviennent en retard.
Il faut dire, cependant, que la moralisation de la gestion des finances publiques a commencé depuis l’affaire Sonatrach qui n’a pas encore livré tous ses secrets et semble toucher aujourd’hui tous les secteurs d’activité publics et privés. Il s’agira pour l’État de protéger les fonctionnaires sérieux et honnêtes qui continuent malgré tout de travailler et de maintenir une fonctionnalité normale des institutions contre toutes sortes d’escrocs qui n’hésitent pas à user des moindres facilitations accordées aux Algériens.
Aujourd’hui, l’affaire des faux dans l’octroi du crédit véhicule au sein d’Al Baraka Bank est significative de l’absence de contrôle des organes chargés de la protection des deniers publics et de la lutte contre la corruption. Ce jeudi, Karim Djoudi, ministre des Finances, avait réaffirmé la détermination de l’État à poursuivre la bataille engagée contre la corruption en annonçant le renforcement des prérogatives de l’inspection générale des finances.
Les Algériens sont-ils condamnés à subir, et jusqu’à quand, le diktat des escrocs qui semblent de plus en plus avoir pignon sur rue ? Dans le cas du dossier du crédit automobile que les enquêteurs des services de sécurité viennent d’ouvrir, il s’agit, encore une fois de plus, de l’utilisation de faux documents pour l’acquisition d’un avantage.
Et encore une fois, ce sont d’honnêtes citoyens qui paient les pots cassés par d’indélicats fonctionnaires tentés par le gain facile. Il est vrai que l’environnement général, caractérisé par les scandales liés à la corruption et aux détournements des deniers publics, pourrait être un motif d’encouragement pour tous ceux qui pourraient être attirés par les chants des sirènes. Mais la main lourde de l’État finit toujours par frapper même si les choses interviennent en retard.
Il faut dire, cependant, que la moralisation de la gestion des finances publiques a commencé depuis l’affaire Sonatrach qui n’a pas encore livré tous ses secrets et semble toucher aujourd’hui tous les secteurs d’activité publics et privés. Il s’agira pour l’État de protéger les fonctionnaires sérieux et honnêtes qui continuent malgré tout de travailler et de maintenir une fonctionnalité normale des institutions contre toutes sortes d’escrocs qui n’hésitent pas à user des moindres facilitations accordées aux Algériens.
Aujourd’hui, l’affaire des faux dans l’octroi du crédit véhicule au sein d’Al Baraka Bank est significative de l’absence de contrôle des organes chargés de la protection des deniers publics et de la lutte contre la corruption. Ce jeudi, Karim Djoudi, ministre des Finances, avait réaffirmé la détermination de l’État à poursuivre la bataille engagée contre la corruption en annonçant le renforcement des prérogatives de l’inspection générale des finances.
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